Présentation du roman
Ce roman a été écrit par Victor HUGO en 1829, il est composé de 49 chapitres et il a 97 pages.Victor HUGO traite différents thèmes dans cette œuvre comme la liberté ou l’absence de liberté et la peine de mort à laquelle il s’opposait
Victor HUGO parlait ainsi de la guillotine : « L’infâme machine partira de France, nous y comptons, et s’il plaît à Dieu, elle partira en boitant, car nous tâcherons de lui porter de rudes coups. »
La peine de mort fut abolie seulement en 1981
« La peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie ». (Paroles du 15 septembre 1848). En 1851, il l’a dénoncée en plein tribunal : « Cette vieille et inintelligente loi du talion(…) » je la combattrai de tous mes efforts comme écrivain, de tous mes actes de tous mes votes comme législateur, je le déclare devant cette victime de la peine de mort qui est là, qui nous regarde et qui nous entend ! ( il montre le Christ sur la croix ). Je le jure devant ce gibet où, il y a deux mille ans, pour l’éternel enseignement des générations, la loi humaine a cloué la loi divine ! » ( Paroles du 11 juin 1851 ).
Ce roman a été écrit par Victor HUGO en 1829, il est composé de 49 chapitres et il a 97 pages.Victor HUGO traite différents thèmes dans cette œuvre comme la liberté ou l’absence de liberté et la peine de mort à laquelle il s’opposait
Victor HUGO parlait ainsi de la guillotine : « L’infâme machine partira de France, nous y comptons, et s’il plaît à Dieu, elle partira en boitant, car nous tâcherons de lui porter de rudes coups. »
La peine de mort fut abolie seulement en 1981
« La peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie ». (Paroles du 15 septembre 1848). En 1851, il l’a dénoncée en plein tribunal : « Cette vieille et inintelligente loi du talion(…) » je la combattrai de tous mes efforts comme écrivain, de tous mes actes de tous mes votes comme législateur, je le déclare devant cette victime de la peine de mort qui est là, qui nous regarde et qui nous entend ! ( il montre le Christ sur la croix ). Je le jure devant ce gibet où, il y a deux mille ans, pour l’éternel enseignement des générations, la loi humaine a cloué la loi divine ! » ( Paroles du 11 juin 1851 ).
Biographie
Victor Hugo
(1802-1885)
Victor Hugo est né le 26 Février 1802 à Besançon en France. Poète, romancier et dramaturge, Victor Hugo est sans conteste l'un des géants de la littérature française. Les romans les plus connus de Victor Hugo sont "Notre-Dame de Paris" (1831) et "Les Misérables" (1862).
L'auteur des Misérables, des Châtiments et de nombreux poèmes a allié à la fois ambition, longévité, puissance de travail et génie, ce qui ne pouvait que concourir à ce mélange de fascination et d'irritation qu'il suscite encore aujourd'hui. I écrivait avec simplicité et puissance les bonheurs et malheurs de la vie. Victor Hugo était un travailleur acharné.
Entre 1827 ( Préface de son drame Cromwell) et 1830 (représentation d'Hernani, qui est l'occasion d'une célèbre «bataille»), Victor Hugo s'affirme comme le chef du romantisme.
De 1830 à 1840, il publie: un grand roman historique, Notre-Dame de Paris (1831) ; des drames, Marion de Lorme (1831), Le roi s'amuse (1832), Marie Tudor (1833), Lucrèce Borgia (1833), Ruy Blas. (1838); et surtout quatre recueils de poésies, où il se montre maître dans l'expression lyrique des idées et des sentiments: les Feuilles d'automne (1831), les Chants du crépuscule (1835), les Voix intérieures (1837), les Rayons et les Ombres (1840).
Victor Hugo est mort à Paris le 23 May 1885 à 83 ans. Plus de 3 millions de personnes ont assisté à ses funérailles..
Livres écrits par Victor Hugo
Les Misérables
Auteur: Victor Hugo
C'est un tel classique qu'on a toujours l'impression de l'avoir déjà lu... ou vu : avec Michel Bouquet dans le rôle de Javert, ou bien Depardieu. Relire donc Les Misérables, publié par Victor Hugo en 1862, offre le plaisir de la reconnaissance et du recommencement. Toujours on sera emporté par la tension romanesque du livre, ses figures inoubliables, ses langues multiples - n'oublions pas que Victor Hugo est le premier à introduire l'argot et la langue populaire dans le français écrit -, ses histoires et son temps.
Notre-Dame de Paris
Auteur: Victor Hugo
Dans un Paris moyenâgeux, la belle Esmeralda fait battre le cœur de tous. Mais la jeune gitane est accusée de sorcellerie et doit être pendue. Quasimodo, le bossu au grand cœur, est prêt à se battre, envers et contre tous, pour la sauver. Ce roman de Victor Hugo est un véritable chef d'œuvre.
Victor Hugo, Théâtre complet
Auteur: Victor Hugo
Édition de Jean-Jacques Thierry et de Josette Mélèze, préface de Roland Purnal. Tome 1 . Théâtre de jeunesse : Irtamène - À quelque chose hasard est bon - Inez de Castro - Amy Robsart. Drames en vers : Cromwell - Marion de Lorme - Hernani - Le Roi s'amuse - Ruy Blas - Appendice, 1840 pages. Tome 2. Drames en vers (suite) : Les Burgraves - Torquemada. Drames en prose : Lucrèce Borgia - Marie Tudor - Angelo, tyran de Padoue. Théâtre lyrique : La Esmeralda. Théâtre en liberté : La Grand-mère - L'Épée - Mangeront-ils? - Sur la lisière d'un bois - Les Gueux - Être aimé - La Forêt mouillée. Théâtre moderne : Mille francs de récompense - L'Intervention - Fragments - Appendice, 1936 pages. Bibliothèque de la Pléiade (No 170), Gallimard.
Victor Hugo
(1802-1885)
Victor Hugo est né le 26 Février 1802 à Besançon en France. Poète, romancier et dramaturge, Victor Hugo est sans conteste l'un des géants de la littérature française. Les romans les plus connus de Victor Hugo sont "Notre-Dame de Paris" (1831) et "Les Misérables" (1862).
L'auteur des Misérables, des Châtiments et de nombreux poèmes a allié à la fois ambition, longévité, puissance de travail et génie, ce qui ne pouvait que concourir à ce mélange de fascination et d'irritation qu'il suscite encore aujourd'hui. I écrivait avec simplicité et puissance les bonheurs et malheurs de la vie. Victor Hugo était un travailleur acharné.
Entre 1827 ( Préface de son drame Cromwell) et 1830 (représentation d'Hernani, qui est l'occasion d'une célèbre «bataille»), Victor Hugo s'affirme comme le chef du romantisme.
De 1830 à 1840, il publie: un grand roman historique, Notre-Dame de Paris (1831) ; des drames, Marion de Lorme (1831), Le roi s'amuse (1832), Marie Tudor (1833), Lucrèce Borgia (1833), Ruy Blas. (1838); et surtout quatre recueils de poésies, où il se montre maître dans l'expression lyrique des idées et des sentiments: les Feuilles d'automne (1831), les Chants du crépuscule (1835), les Voix intérieures (1837), les Rayons et les Ombres (1840).
Victor Hugo est mort à Paris le 23 May 1885 à 83 ans. Plus de 3 millions de personnes ont assisté à ses funérailles..
Livres écrits par Victor Hugo
Les Misérables
Auteur: Victor Hugo
C'est un tel classique qu'on a toujours l'impression de l'avoir déjà lu... ou vu : avec Michel Bouquet dans le rôle de Javert, ou bien Depardieu. Relire donc Les Misérables, publié par Victor Hugo en 1862, offre le plaisir de la reconnaissance et du recommencement. Toujours on sera emporté par la tension romanesque du livre, ses figures inoubliables, ses langues multiples - n'oublions pas que Victor Hugo est le premier à introduire l'argot et la langue populaire dans le français écrit -, ses histoires et son temps.
Notre-Dame de Paris
Auteur: Victor Hugo
Dans un Paris moyenâgeux, la belle Esmeralda fait battre le cœur de tous. Mais la jeune gitane est accusée de sorcellerie et doit être pendue. Quasimodo, le bossu au grand cœur, est prêt à se battre, envers et contre tous, pour la sauver. Ce roman de Victor Hugo est un véritable chef d'œuvre.
Victor Hugo, Théâtre complet
Auteur: Victor Hugo
Édition de Jean-Jacques Thierry et de Josette Mélèze, préface de Roland Purnal. Tome 1 . Théâtre de jeunesse : Irtamène - À quelque chose hasard est bon - Inez de Castro - Amy Robsart. Drames en vers : Cromwell - Marion de Lorme - Hernani - Le Roi s'amuse - Ruy Blas - Appendice, 1840 pages. Tome 2. Drames en vers (suite) : Les Burgraves - Torquemada. Drames en prose : Lucrèce Borgia - Marie Tudor - Angelo, tyran de Padoue. Théâtre lyrique : La Esmeralda. Théâtre en liberté : La Grand-mère - L'Épée - Mangeront-ils? - Sur la lisière d'un bois - Les Gueux - Être aimé - La Forêt mouillée. Théâtre moderne : Mille francs de récompense - L'Intervention - Fragments - Appendice, 1936 pages. Bibliothèque de la Pléiade (No 170), Gallimard.
Fiche pratique
Auteur :
Victor Hugo
Titre et date de publication:
Le dernier jour d'un condamne , publié en 1829.
Genre :
Récit à la première personne ; adoption des techniques de l’autobiographie, le journal intime en particulier.
Histoire :
Le livre est l’histoire d’un homme qui a été condamné a mort et, il raconte ce qu’il vit pendant les dernières semaines de sa vie. Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu’il a fait pour être condamné à mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme ce que veut dire être condamnés à mort.
Il nous raconte sa vie en prison ; nous parle de ses sentiments ; peurs et espoir, de sa famille ; sa fille, sa femme et sa mère.
Il raconte aussi quelques bribes de son passé et cesse d’écrire quand arrive le moment de l’exécution.
Composition :
Le livre comporte trois parties : Bicêtre, la Conciergerie et la Mairie.
Bicêtre : le procès, le ferrage des forçats et la chanson ;
La Conciergerie : le voyage vers Paris, la rencontre avec la friauche et la rencontre avec le geôlier qui lui demande les numéros pour jouer à la loterie ;
L’Hôtel de Ville : le voyage dans Paris, la toilette du condamné et le voyage vers la Place de Grève : l’échafaud.
Personnages :
Le condamné à mort / Les geôliers / Sa fille / Sa femme et sa mère / Le prêtre. / La foule
Cadre:
Lieux :
Les grandes prisons de Paris : Bicêtre, la Conciergerie et l’Hôtel de Ville.
Durée :
Cinq semaines, à partir du moment où le protagoniste est condamné à mort jusqu’au moment où il monte sur l’échafaud.
Thèmes :
La peine de mort / La peur / la haine / la religion / la violence contre les prisonniers / l’injustice / la justice
Enonciation, focalisation :
Le narrateur est le personnage : utilisation de la première personne.
Le narrateur # l’auteur.
Focalisation interne : accès au point de vue du narrateur et à sa vision des choses et du monde..
Auteur :
Victor Hugo
Titre et date de publication:
Le dernier jour d'un condamne , publié en 1829.
Genre :
Récit à la première personne ; adoption des techniques de l’autobiographie, le journal intime en particulier.
Histoire :
Le livre est l’histoire d’un homme qui a été condamné a mort et, il raconte ce qu’il vit pendant les dernières semaines de sa vie. Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu’il a fait pour être condamné à mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme ce que veut dire être condamnés à mort.
Il nous raconte sa vie en prison ; nous parle de ses sentiments ; peurs et espoir, de sa famille ; sa fille, sa femme et sa mère.
Il raconte aussi quelques bribes de son passé et cesse d’écrire quand arrive le moment de l’exécution.
Composition :
Le livre comporte trois parties : Bicêtre, la Conciergerie et la Mairie.
Bicêtre : le procès, le ferrage des forçats et la chanson ;
La Conciergerie : le voyage vers Paris, la rencontre avec la friauche et la rencontre avec le geôlier qui lui demande les numéros pour jouer à la loterie ;
L’Hôtel de Ville : le voyage dans Paris, la toilette du condamné et le voyage vers la Place de Grève : l’échafaud.
Personnages :
Le condamné à mort / Les geôliers / Sa fille / Sa femme et sa mère / Le prêtre. / La foule
Cadre:
Lieux :
Les grandes prisons de Paris : Bicêtre, la Conciergerie et l’Hôtel de Ville.
Durée :
Cinq semaines, à partir du moment où le protagoniste est condamné à mort jusqu’au moment où il monte sur l’échafaud.
Thèmes :
La peine de mort / La peur / la haine / la religion / la violence contre les prisonniers / l’injustice / la justice
Enonciation, focalisation :
Le narrateur est le personnage : utilisation de la première personne.
Le narrateur # l’auteur.
Focalisation interne : accès au point de vue du narrateur et à sa vision des choses et du monde..
Personnages
le condamné à mort :
nous ne savons ni son nom ni ce qu’il a fait pour être condamné a mort. Il a très peur et il voudrait être sauvé par la grâce du roi, mais il sait que cela est impossible. Il semble s’être repenti pour ce qu’il a fait. Il est jeune, sain et fort, il a une bonne éducation (il cite des phrases en latin au concierge qui lui permet de faire la promenade une fois par semaine avec les autres détenus, chap. V ; second tome des voyages de Spallanzani dont il lit quelques pages à côté d’une jeune fille, chap.XXXIII). Il dit que pour lui le temps passe plus vite que pour les autres. Il n’aime pas la foule et il ne l’aimera jamais et lui-même n’a jamais aimé voir tuer un condamné à mort. Il aime sa fillette Marie et est très préoccupé pour son futur : chap. XXVI : "Quand elle sera grande ... Elle rougira de moi et de mon nom ; elle sera méprisée, repoussée, vile à cause de moi qui l’aime de toutes les tendresses de mon coeur."
les geôliers:
quelqu’uns sont gentils avec le protagoniste ; d’autres ne le sont pas. Il y a des geôliers qui parlent avec lui et lui demandent beaucoup de choses et d’autres qui le traitent comme un animal.
Sa fillette:
Elle s’appelle Marie et elle a trois ans au moment de sa visite en prison. C’est une fillette qui a très envie de vivre. Mais quand elle parle avec le protagoniste, elle dit que son père est mort (c’est ce que lui a dit sa mère) : elle ne reconnaît plus son père qu’elle ne voit plus depuis plusieurs mois.
Sa femme et sa mère :
Elles ne sont pas décrites ; mais elles sont citées en référence à la souffrance, à la peine indirecte que l’on fait subir aux membres de la famille du condamné a mort : "J’admets que je sois justement puni ; ces innocentes qu’ont-elles fait ? N’importe ; on les déshonore, on les ruine. C’est la justice." (chap.IX)
Le prêtre:
Il est détaché dans ses rencontres avec le condamné. Selon le protagoniste, ce prêtre ne parle par avec son coeur, mais dit seulement de façon machinale ce qu’il dit habituellement avec les condamnés.
La foule :
C’est la société (de Paris) qui veut voir tuer cet homme. Elle est très nombreuse. Elle ne veut pas la justice ; elle veut simplement assister à un spectacle : celui de l’exécution de la peine capitale par la guillotine. On peut donc affirmer que de quelque manière la foule et le condamné sont proches l’une de l’autre au niveau moral.
le condamné à mort :
nous ne savons ni son nom ni ce qu’il a fait pour être condamné a mort. Il a très peur et il voudrait être sauvé par la grâce du roi, mais il sait que cela est impossible. Il semble s’être repenti pour ce qu’il a fait. Il est jeune, sain et fort, il a une bonne éducation (il cite des phrases en latin au concierge qui lui permet de faire la promenade une fois par semaine avec les autres détenus, chap. V ; second tome des voyages de Spallanzani dont il lit quelques pages à côté d’une jeune fille, chap.XXXIII). Il dit que pour lui le temps passe plus vite que pour les autres. Il n’aime pas la foule et il ne l’aimera jamais et lui-même n’a jamais aimé voir tuer un condamné à mort. Il aime sa fillette Marie et est très préoccupé pour son futur : chap. XXVI : "Quand elle sera grande ... Elle rougira de moi et de mon nom ; elle sera méprisée, repoussée, vile à cause de moi qui l’aime de toutes les tendresses de mon coeur."
les geôliers:
quelqu’uns sont gentils avec le protagoniste ; d’autres ne le sont pas. Il y a des geôliers qui parlent avec lui et lui demandent beaucoup de choses et d’autres qui le traitent comme un animal.
Sa fillette:
Elle s’appelle Marie et elle a trois ans au moment de sa visite en prison. C’est une fillette qui a très envie de vivre. Mais quand elle parle avec le protagoniste, elle dit que son père est mort (c’est ce que lui a dit sa mère) : elle ne reconnaît plus son père qu’elle ne voit plus depuis plusieurs mois.
Sa femme et sa mère :
Elles ne sont pas décrites ; mais elles sont citées en référence à la souffrance, à la peine indirecte que l’on fait subir aux membres de la famille du condamné a mort : "J’admets que je sois justement puni ; ces innocentes qu’ont-elles fait ? N’importe ; on les déshonore, on les ruine. C’est la justice." (chap.IX)
Le prêtre:
Il est détaché dans ses rencontres avec le condamné. Selon le protagoniste, ce prêtre ne parle par avec son coeur, mais dit seulement de façon machinale ce qu’il dit habituellement avec les condamnés.
La foule :
C’est la société (de Paris) qui veut voir tuer cet homme. Elle est très nombreuse. Elle ne veut pas la justice ; elle veut simplement assister à un spectacle : celui de l’exécution de la peine capitale par la guillotine. On peut donc affirmer que de quelque manière la foule et le condamné sont proches l’une de l’autre au niveau moral.
Résumé de l'oeuvre : chapitre par chapitre
CHAPITRE1
Depuis cinq semaines, un jeune prisonnier vit constamment avec l’idée de la mort. Il est doublement enfermé. Physiquement, il est captif dans une cellule à Bicêtre. Moralement, il est prisonnier d’une seule idée : condamné à mort. Il se trouve dans l’impossibilité de penser à autre chose.
CHAPITRE2
De sa cellule, le narrateur se souvient de son procès et de sa condamnation à mort. Il relate les circonstances de son procès et sa réaction au verdict fatal.
CHAPITRE3
Le condamné semble accepter ce verdict. Il ne regrette pas trop de choses dan,s cette vie où tous les hommes sont des condamnés en sursis. Peu importe ce qui lui arrive.
CHAPITRE4
Le condamné est transféré à Bicêtre. Il décrit brièvement cette hideuse prison.
CHAPITRE5
Le narrateur nous parle de son arrivée à la prison. Il a réussi à améliorer ses conditions de prisonnier grâce à sa docilité et à quelques mots de latin. Il nous parle ensuite de l’argot pratiqué en prison.
CHAPITRE6
Dans un monologue intérieur, le prisonnier nous dévoile sa décision de se mettre à écrire. D’abord, pour lui-même pour se distraire et oublier ses angoisses. Ensuite pour ceux qui jugent pour que leurs mains soient moins légères quand il s’agit de condamner quelqu’un à mort. C’est sa contribution à lui pour abolir la peine capitale.
CHAPITRE7
Le narrateur se demande quel intérêt peut-il tirer en sauvant d’autre têtes alors qu’il ne peut sauver la sienne.
CHAPITRE8
Le jeune condamné compte le temps qui lui reste à vivre. Six semaines dont il a déjà passé cinq ou même six. Il ne lui reste presque rien.
CHAPITRE9
Notre prisonnier vient de faire son testament. Il pense aux personnes qu’il laisse derrière lui : sa mère, se femme et sa petite fille. C’est pour cette dernière qu’il s’inquiète le plus.
CHAPITRE10
Le condamné nous décrit son cachot qui n’a même pas de fenêtres. Il décrit aussi le long corridor longé par des cachots réservés aux forçats alors que les trois premiers cabanons sont réservés aux condamné à la peine capitale.
CHAPITRE11
Pour passer sa longue nuit, il se lève pour nous décrire les murs de sa cellule pleins d’inscriptions, traces laissées par d’autres prisonniers. L’image de l’échafaud crayonnée sur le mur le perturbe.
CHAPITRE12
Le prisonnier reprend sa lecture des inscriptions murales. Il découvre les noms de criminels qui ont déjà séjourné dans cette triste cellule.
CHAPITRE13
Le narrateur- personnage se rappelle d’un événement particulier qui a eu lieu il y a quelques jours dans le cour de la prison : le départ des forçats au bagne de Toulon. Il nous rapporte cet événement comme un vrai spectacle en trois actes : la visite médicale, le visite des geôliers et le ferrage. Il nous parle du traitement inhumain réservé à ces condamnés. A la fin du spectacle, il tombe évanoui.
CHAPITRE14
Quand il revient à lui, il se trouve dans l’infirmerie. D’une fenêtre , il peut observer les forçats partir tristement sous la pluie au bagne de Toulon. Il préfère plutôt la mort que les travaux forcés.
CHAPITRE15
Le prisonnier est dans sa cellule. Il avait senti un peu de liberté dans l’infirmerie mais voilà qu’il est repris par l’idée de la mort qu’il pense à s’évader.
CHAPITRE16
Le narrateur se rappelle de ces quelques heures de liberté à l’infirmerie. Il se souvient de cette jeune fille qu’il a entendu chanter de sa vois pure, veloutée une chanson en argot.
CHAPITRE17
Il pense encore à s’évader. Il s’imagine déjà en dehors de la prison dans le port pour s’embarquer vers l’Angleterre mais voilà qu’un gendarme vient demander son passeport : le rêve est brisé
CHAPITRE18
Il est six heures du matin. Le guichetier entre dans le cachot. Il demande à notre condamné ce qu’il désire à manger.
CHAPITRE19
Le directeur de la prison vient en personne voir le condamné. Il se montre doux et gentil. Le jeune comprend que son heure est arrivée.
CHAPITRE20
Le narrateur pense à son geôlier, à la prison qu’il trouve partout autour de lui, dans les murs, dans les guichetiers…
CHAPITRE21
Le condamné reçoit deux visites. D’abord celle du prêtre et puis celle de l’huissier. Ce dernier vient lui annoncer que le pourvoi est rejeté et que son exécution aura lieu le jour même place de Grève. Il reviendra le chercher dans une heure.
CHAPITRE22
Le prisonnier est transféré à la Conciergerie. Il nous conte le voyage et sa discussion avec le prêtre et l’huissier pendant le trajet. Il se montre peu bavard et parait plutôt pensif. A huit heures trente, la carriole est déjà devant la Cour.
CHAPITRE23
L’huissier remet le condamné aux mains du directeur. Dans un cabinet voisin, il fait une rencontre curieuse avec un condamné à mort qui séjournera dans la même cellule à Bicêtre. Ce dernier, fils d’un ancien condamné à mort lui raconte son histoire et s’empare de sa redingote .
CHAPITRE24
Le narrateur est enragé parce que l’autre condamné lui a pris sa redingote.
CHAPITRE25
Le condamné est transféré dans une autre cellule. On lui rapporte, sur sa demande une chaise, une table, ce qu’il faut pour écrire et un lit.
CHAPITRE26
Il est dix heures. Le condamné plaint sa petite fille qui restera sans père. Elle sera peut être repoussée, haie à cause de lui.
CHAPITRE27
Le narrateur se demande comment on pouvait mourir sur l’échafaud.
CHAPITRE28
Il se rappelle avoir déjà vu une fois monter une guillotine sur la place de Grève.
CHAPITRE29
Le jeune détenu pense à cette grâce qui ne vient toujours pas. Il estime maintenant que les galères seraient meilleure solution en attendant qu’un jour arrive la grâce.
CHAPITRE30
Le prêtre revient voir le condamné. Celui-ci est loin d’apprécier sa présence. Ce prêtre parle machinalement et semble peu touché par la souffrance du prisonnier. Ensuite, et bien que la table soit délicate et bien garnie, il ne peut manger.
CHAPITRE31
Le narrateur est surpris de voir un homme prendre les mesures de la cellule. Ironie du sort : la prison va être rénovée dans six mois.
CHAPITRE32
Un autre gendarme vient prendre la relève. Il est un peu brusque. Il demande au prisonnier de venir chez lui après son exécution pour lui révéler les trois bons numéros gagnants à la loterie . Le condamné veut profiter de cette demande bizarre : il lui propose de changer ses vêtements avec lui. Le gendarme refuse ; il a compris que le prisonnier veut s’évader.
CHAPITRE33
Pour oublier son présent, le narrateur passe en revue ses souvenirs d’enfance et de jeunesse.Il s’arrête longuement sur le souvenir de Pepa, cette jeune andalouse dont il était amoureux et avec qui il a passé une belle soirée d’été.
CHAPITRE34
Au milieu de ses souvenirs de jeunesse, le condamné pense à son crime. Entre son passé et son présent, il y a une rivière de sang : le sang de l’autre ( sa victime) et le sien( le coupable)
CHAPITRE35
Le narrateur pense à toutes ces personnes qui continuent toujours à vivre le plus normalement au monde.
CHAPITRE36
Il se rappelle ensuite du jour où il est allé voir la grande cloche (le bourdon) de Notre-Dame (cathédrale à Paris)
CHAPITRE37
Le narrateur décrit brièvement l’hôtel de ville.
CHAPITRE38
Il est une heure le quart. Le condamné éprouve une violente douleur. Il a mal partout. Il lui reste deux heures quarante cinq à vivre.
CHAPITRE39
On dit que sous la guillotine, on ne souffre pas, que cela passe vite. Le narrateur se demande comment on peut savoir une telle chose puisque aucun condamné déjà exécuté ne peut l’affirmer.
CHAPITRE40
Le jeune détenu pense au roi. C’est de lui que viendrait la grâce tant attendue. Sa vie dépend d’une signature. Il espère toujours.
CHAPITRE41
Le condamné se met dans la tête l’idée qu’il va bientôt mourir. Il demande un prêtre pour se confesser, un crucifix à baiser
CHAPITRE42
Il se laisse dormir un moment. C’est son dernier sommeil. Il fait un cauchemar et se réveille frémissant, baigné d’une sueur froide.
CHAPITRE43
La petite Marie vient rendre visite à son père. Ce dernier est choqué devant la fraîche et la belle petite fille qui ne le reconnaît pas. Elle croit que son père est mort. Le jeune condamné perd tout espoir.
CHAPITRE44
Le détenu a une heure devant lui pour s’habituer à la mort. La visite de sa fille l’a poussé dans le désespoir.
CHAPITRE45
Il pense au peuple qui viendra assister au « spectacle » de son exécution. Il se dit que parmi ce public enthousiaste, il y a peut-être des têtes qui le suivront , sans le savoir, dans sa fatale destination.
CHAPITRE46
La petite Marie vient de partir. Le père se demande s’il a le temps de lui écrire quelques pages. Il cherche à se justifier aux les yeux de sa fille.
CHAPITRE47
Ce chapitre comporte une note de l’éditeur : les feuillets qui se rattachent à celui-ci sont perdus ou peut être que le condamné n’a pas eu le temps de les écrire
CHAPITRE48
Le condamné est dans une chambre de l’hôtel de ville. A trois heures, on vient l’avertir qu’il est temps. Le bourreau et ses deux valets, lui coupent les cheveux et le collet avant de lier ses mains. Le convoi se dirige ensuite vers la place de Grève devant une foule de curieux qui attendent l’exécution.
CHAPITRE49
Le condamné demande sa grâce à cette personne qu’il croyait juge, commissaire ou magistrat. Il demande, par pitié, qu’on lui donne cinq minutes pour attendre la grâce. Mais le juge et le bourreau sortent de la cellule. Il reste seul avec le gendarme. Il espère encore mais voilà qu’on vient le chercher…
CHAPITRE1
Depuis cinq semaines, un jeune prisonnier vit constamment avec l’idée de la mort. Il est doublement enfermé. Physiquement, il est captif dans une cellule à Bicêtre. Moralement, il est prisonnier d’une seule idée : condamné à mort. Il se trouve dans l’impossibilité de penser à autre chose.
CHAPITRE2
De sa cellule, le narrateur se souvient de son procès et de sa condamnation à mort. Il relate les circonstances de son procès et sa réaction au verdict fatal.
CHAPITRE3
Le condamné semble accepter ce verdict. Il ne regrette pas trop de choses dan,s cette vie où tous les hommes sont des condamnés en sursis. Peu importe ce qui lui arrive.
CHAPITRE4
Le condamné est transféré à Bicêtre. Il décrit brièvement cette hideuse prison.
CHAPITRE5
Le narrateur nous parle de son arrivée à la prison. Il a réussi à améliorer ses conditions de prisonnier grâce à sa docilité et à quelques mots de latin. Il nous parle ensuite de l’argot pratiqué en prison.
CHAPITRE6
Dans un monologue intérieur, le prisonnier nous dévoile sa décision de se mettre à écrire. D’abord, pour lui-même pour se distraire et oublier ses angoisses. Ensuite pour ceux qui jugent pour que leurs mains soient moins légères quand il s’agit de condamner quelqu’un à mort. C’est sa contribution à lui pour abolir la peine capitale.
CHAPITRE7
Le narrateur se demande quel intérêt peut-il tirer en sauvant d’autre têtes alors qu’il ne peut sauver la sienne.
CHAPITRE8
Le jeune condamné compte le temps qui lui reste à vivre. Six semaines dont il a déjà passé cinq ou même six. Il ne lui reste presque rien.
CHAPITRE9
Notre prisonnier vient de faire son testament. Il pense aux personnes qu’il laisse derrière lui : sa mère, se femme et sa petite fille. C’est pour cette dernière qu’il s’inquiète le plus.
CHAPITRE10
Le condamné nous décrit son cachot qui n’a même pas de fenêtres. Il décrit aussi le long corridor longé par des cachots réservés aux forçats alors que les trois premiers cabanons sont réservés aux condamné à la peine capitale.
CHAPITRE11
Pour passer sa longue nuit, il se lève pour nous décrire les murs de sa cellule pleins d’inscriptions, traces laissées par d’autres prisonniers. L’image de l’échafaud crayonnée sur le mur le perturbe.
CHAPITRE12
Le prisonnier reprend sa lecture des inscriptions murales. Il découvre les noms de criminels qui ont déjà séjourné dans cette triste cellule.
CHAPITRE13
Le narrateur- personnage se rappelle d’un événement particulier qui a eu lieu il y a quelques jours dans le cour de la prison : le départ des forçats au bagne de Toulon. Il nous rapporte cet événement comme un vrai spectacle en trois actes : la visite médicale, le visite des geôliers et le ferrage. Il nous parle du traitement inhumain réservé à ces condamnés. A la fin du spectacle, il tombe évanoui.
CHAPITRE14
Quand il revient à lui, il se trouve dans l’infirmerie. D’une fenêtre , il peut observer les forçats partir tristement sous la pluie au bagne de Toulon. Il préfère plutôt la mort que les travaux forcés.
CHAPITRE15
Le prisonnier est dans sa cellule. Il avait senti un peu de liberté dans l’infirmerie mais voilà qu’il est repris par l’idée de la mort qu’il pense à s’évader.
CHAPITRE16
Le narrateur se rappelle de ces quelques heures de liberté à l’infirmerie. Il se souvient de cette jeune fille qu’il a entendu chanter de sa vois pure, veloutée une chanson en argot.
CHAPITRE17
Il pense encore à s’évader. Il s’imagine déjà en dehors de la prison dans le port pour s’embarquer vers l’Angleterre mais voilà qu’un gendarme vient demander son passeport : le rêve est brisé
CHAPITRE18
Il est six heures du matin. Le guichetier entre dans le cachot. Il demande à notre condamné ce qu’il désire à manger.
CHAPITRE19
Le directeur de la prison vient en personne voir le condamné. Il se montre doux et gentil. Le jeune comprend que son heure est arrivée.
CHAPITRE20
Le narrateur pense à son geôlier, à la prison qu’il trouve partout autour de lui, dans les murs, dans les guichetiers…
CHAPITRE21
Le condamné reçoit deux visites. D’abord celle du prêtre et puis celle de l’huissier. Ce dernier vient lui annoncer que le pourvoi est rejeté et que son exécution aura lieu le jour même place de Grève. Il reviendra le chercher dans une heure.
CHAPITRE22
Le prisonnier est transféré à la Conciergerie. Il nous conte le voyage et sa discussion avec le prêtre et l’huissier pendant le trajet. Il se montre peu bavard et parait plutôt pensif. A huit heures trente, la carriole est déjà devant la Cour.
CHAPITRE23
L’huissier remet le condamné aux mains du directeur. Dans un cabinet voisin, il fait une rencontre curieuse avec un condamné à mort qui séjournera dans la même cellule à Bicêtre. Ce dernier, fils d’un ancien condamné à mort lui raconte son histoire et s’empare de sa redingote .
CHAPITRE24
Le narrateur est enragé parce que l’autre condamné lui a pris sa redingote.
CHAPITRE25
Le condamné est transféré dans une autre cellule. On lui rapporte, sur sa demande une chaise, une table, ce qu’il faut pour écrire et un lit.
CHAPITRE26
Il est dix heures. Le condamné plaint sa petite fille qui restera sans père. Elle sera peut être repoussée, haie à cause de lui.
CHAPITRE27
Le narrateur se demande comment on pouvait mourir sur l’échafaud.
CHAPITRE28
Il se rappelle avoir déjà vu une fois monter une guillotine sur la place de Grève.
CHAPITRE29
Le jeune détenu pense à cette grâce qui ne vient toujours pas. Il estime maintenant que les galères seraient meilleure solution en attendant qu’un jour arrive la grâce.
CHAPITRE30
Le prêtre revient voir le condamné. Celui-ci est loin d’apprécier sa présence. Ce prêtre parle machinalement et semble peu touché par la souffrance du prisonnier. Ensuite, et bien que la table soit délicate et bien garnie, il ne peut manger.
CHAPITRE31
Le narrateur est surpris de voir un homme prendre les mesures de la cellule. Ironie du sort : la prison va être rénovée dans six mois.
CHAPITRE32
Un autre gendarme vient prendre la relève. Il est un peu brusque. Il demande au prisonnier de venir chez lui après son exécution pour lui révéler les trois bons numéros gagnants à la loterie . Le condamné veut profiter de cette demande bizarre : il lui propose de changer ses vêtements avec lui. Le gendarme refuse ; il a compris que le prisonnier veut s’évader.
CHAPITRE33
Pour oublier son présent, le narrateur passe en revue ses souvenirs d’enfance et de jeunesse.Il s’arrête longuement sur le souvenir de Pepa, cette jeune andalouse dont il était amoureux et avec qui il a passé une belle soirée d’été.
CHAPITRE34
Au milieu de ses souvenirs de jeunesse, le condamné pense à son crime. Entre son passé et son présent, il y a une rivière de sang : le sang de l’autre ( sa victime) et le sien( le coupable)
CHAPITRE35
Le narrateur pense à toutes ces personnes qui continuent toujours à vivre le plus normalement au monde.
CHAPITRE36
Il se rappelle ensuite du jour où il est allé voir la grande cloche (le bourdon) de Notre-Dame (cathédrale à Paris)
CHAPITRE37
Le narrateur décrit brièvement l’hôtel de ville.
CHAPITRE38
Il est une heure le quart. Le condamné éprouve une violente douleur. Il a mal partout. Il lui reste deux heures quarante cinq à vivre.
CHAPITRE39
On dit que sous la guillotine, on ne souffre pas, que cela passe vite. Le narrateur se demande comment on peut savoir une telle chose puisque aucun condamné déjà exécuté ne peut l’affirmer.
CHAPITRE40
Le jeune détenu pense au roi. C’est de lui que viendrait la grâce tant attendue. Sa vie dépend d’une signature. Il espère toujours.
CHAPITRE41
Le condamné se met dans la tête l’idée qu’il va bientôt mourir. Il demande un prêtre pour se confesser, un crucifix à baiser
CHAPITRE42
Il se laisse dormir un moment. C’est son dernier sommeil. Il fait un cauchemar et se réveille frémissant, baigné d’une sueur froide.
CHAPITRE43
La petite Marie vient rendre visite à son père. Ce dernier est choqué devant la fraîche et la belle petite fille qui ne le reconnaît pas. Elle croit que son père est mort. Le jeune condamné perd tout espoir.
CHAPITRE44
Le détenu a une heure devant lui pour s’habituer à la mort. La visite de sa fille l’a poussé dans le désespoir.
CHAPITRE45
Il pense au peuple qui viendra assister au « spectacle » de son exécution. Il se dit que parmi ce public enthousiaste, il y a peut-être des têtes qui le suivront , sans le savoir, dans sa fatale destination.
CHAPITRE46
La petite Marie vient de partir. Le père se demande s’il a le temps de lui écrire quelques pages. Il cherche à se justifier aux les yeux de sa fille.
CHAPITRE47
Ce chapitre comporte une note de l’éditeur : les feuillets qui se rattachent à celui-ci sont perdus ou peut être que le condamné n’a pas eu le temps de les écrire
CHAPITRE48
Le condamné est dans une chambre de l’hôtel de ville. A trois heures, on vient l’avertir qu’il est temps. Le bourreau et ses deux valets, lui coupent les cheveux et le collet avant de lier ses mains. Le convoi se dirige ensuite vers la place de Grève devant une foule de curieux qui attendent l’exécution.
CHAPITRE49
Le condamné demande sa grâce à cette personne qu’il croyait juge, commissaire ou magistrat. Il demande, par pitié, qu’on lui donne cinq minutes pour attendre la grâce. Mais le juge et le bourreau sortent de la cellule. Il reste seul avec le gendarme. Il espère encore mais voilà qu’on vient le chercher…